vendredi 27 octobre 2017

Flash, Flash...Gade kijan 250000000 goud la pral pataje nan peyi Ayiti, E minista fenk kare rete nan peyi dayiti toujou... An nou swiv, koman sa te ye.

Si une éventuelle remobilisation des forces armées d’Haïti se concrétise, la mission des Nations unies en appui à la justice en Haïti (MINUJUSTH) ne sera pas de la partie. Le nouveau représentant spécial adjoint du secrétaire général de l’ONU, Mamadou Diallo, a fait savoir qu’il n’a pas reçu de mandat du conseil de sécurité de l’ONU pour établir une « quelconque relation avec l’armée haïtienne. » Mamadou Diallo ne laisse pas de place à la confusion. « Nous restons donc dans le mandat d’accompagnement de la Police nationale, de renforcement du système judicaire », a confié le diplomate, pour signifier qu’il n’a nulle autre intention que de suivre à la lettre son mandat initial de six mois (la durée de la MINUJUSTH est de deux ans).
Durant son intervention, couplée au message du secrétaire général, Antonio Guterres, M. Diallo a insisté sur les objectifs de la MINUJUSTH. Tout est clair dans sa tête. «La MINUJUSTH va poursuivre le renforcement des institutions de droit que sont la Police nationale, les cours et tribunaux, l’administration pénitentiaire ainsi que le renforcement de la capacité des organisations de la promotion et la protection des droits humains». Selon M. Diallo, le fait que « sept Haïtiens sur dix qui se retrouvent derrière les barreaux soient en détention préventive » est très préoccupant.
Malgré ses grands projets et l’ambition d’aider à réformer le système judiciaire haïtien, la mission a commencé le 16 octobre sans un budget de financement des opérations. « Le budget de la MINUJUSTH est encore en discussion devant le 5e comité à New-York », a révélé M. Diallo. Il doit être approuvé par l’Assemblée générale et le 5e comité qui est l’organe placé pour décider du budget des missions. Entre-temps, l’effectif de la MINUJUSTH, composé de 980 policiers qui constituent les sept unités FPU, 295 officiers de police hors unité et 351 membres du personnel civil, est en train de se mettre en place à plus de 65 %.
Toutefois, Mamadou Diallo ne voit pas dans la soumission de l’accord de siège sur le statut de la mission au Parlement pour examen un empêchement au déploiement des policiers et équipes de terrain. Cela « n’a aucun impact sur la nature administrative de cet accord qui a été déjà signé » par lui et le ministre des Affaires étrangères, Antonio Rodrigue, le 16 octobre, jour marquant le début de la mission. Car il s’agit « d’un accord administratif qui n’a aucune valeur politique ». « L’accord d’installation est un cadre administratif qui permet au gouvernement de comprendre un peu comment nous nous organisons pour être présents sur le territoire haïtien et pour mettre en œuvre notre mandat. Il n’obéit, dans sa mise en œuvre, qu'à un cadre administratif. […] Et nous a permis de commencer nos opérations », a-t-il expliqué.
La MINUJUSTH se penche aussi sur l’éradication du choléra et les abus sexuels
À côté des avancées sur le plan sécuritaire durant les 13 ans passés sous l’égide des Casques bleus, Mamadou Diallo a évoqué l’épidémie de choléra qui a fait des milliers de victimes. « Un seul cas de choléra est un cas de trop », a-t-il confié. Pour les abus sexuels dont sont accusés des Casques bleus en Haïti, il a annoncé la poursuite et le renforcement de la politique tolérance zéro, et promet par ailleurs de mettre en œuvre des activités de soutien et d’accompagnement des personnes victimes d’abus sexuels. « La MINUJUSTH et l’ensemble de la famille des Nations unies poursuivront la mobilisation des ressources, l’engagement auprès du gouvernement haïtien pour pouvoir réaliser l’ambition d’arriver à zéro transmission.»
Mamadou Diallo, qui assume également les rôles de coordonnateur résident, coordonnateur humanitaire de l’ONU et de représentant résident du Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD), a rappelé que les 19 agences, fonds et programmes des Nations unies ont signé avec le gouvernement haïtien, en juin dernier, le plan cadre des Nations unies pour assistance et développement. Ce dernier est articulé autour de quatre axes : la réducation de la pauvreté et l’emploi, la lutte contre les facteurs climatiques, le renforcement de l’accès aux services sociaux de base et le renforcement des institutions de la gouvernance. « En tant que membre fondateur de l’ONU, Haïti bénéficie d’une attention constante qui ne va pas changer avec le départ de la MINUSTAH », a avancé M. Diallo.

dimanche 15 octobre 2017

Clic, Clic: Les États-Unis au bord de la guerre avec la Corée du Nord. Le ministre des Affaires étrangères de la Corée du Nord a réagi au discours de Trump en déclarant qu’il s’agissait d’une déclaration de guerre et a averti que son pays avait le droit de prendre des contre-mesures, y compris l’abatage de bombardiers stratégiques américains dans l’espace aérien international. Pourtant, le Pentagone a continué à envoyer des B-1B pour mener des jeux de guerre à proximité de la Corée du Nord.


Par Peter Symonds 
13 octobre 2017
Au milieu des préparatifs américains en vue d’un conflit avec la Corée du Nord, le vol de nuit d’hier effectué par deux bombardiers B-1B sur la péninsule coréenne a été conçu pour provoquer une réponse nord-coréenne qui pourrait servir de motif pour une guerre totale.
Les bombardiers supersoniques ont été rejoints par des avions de combat japonais et sud-coréens pour le premier exercice d’entraînement de nuit à pratiquer des exercices avec des missiles air-sol dans les eaux de la côte est de la Corée du Sud, puis au large de la côte ouest. Cette répétition pour une guerre avec la Corée du Nord a suivi une autre nouveauté : les deux bombardiers B-1B se sont rendus le plus loin vers le nord le long de la côte nord-coréenne depuis le début du siècle.
En même temps, le Pentagone est en train de rassembler une armada navale au large de la péninsule coréenne. Le sous-marin d’attaque nucléaire USS Tuscon est arrivé au large de la Corée du Sud samedi. Le porte-avions USS Ronald Reagan et son groupe de croiseurs et de contre-torpilleurs devraient arriver plus tard ce mois-ci pour des exercices conjoints avec la marine sud-coréenne. Deux frégates australiennes sont également en route vers les eaux coréennes.
La campagne implacable des menaces belliqueuses et des provocations militaires de l’administration Trump montrent clairement que le danger d’une guerre catastrophique qui pourrait entraîner des puissances majeures telles que la Chine et la Russie et dégénérer en un échange nucléaire est réel et imminent. Alors qu’il fait face à une crise politique grandissante à la maison, le président des États-Unis pourrait voir une guerre avec la Corée du Nord comme un moyen d’étayer son administration et d’écraser l’opposition politique nationale.
Du point de vue de la logique militaire, les États-Unis ont délibérément placé le régime de Pyongyang dans une situation impossible. Dans son discours fascisant à l’ONU le mois dernier, Trump a déclaré que la Corée du Nord était confrontée à une « destruction totale » à moins qu’elle ne capitule devant les exigences américaines. Il a carrément exclu toute négociation avec Pyongyang quand il a réprimandé le secrétaire d’État Rex Tillerson pour avoir « gaspillé son temps » à envoyer des signaux diplomatiques.
Le ministre des Affaires étrangères de la Corée du Nord a réagi au discours de Trump en déclarant qu’il s’agissait d’une déclaration de guerre et a averti que son pays avait le droit de prendre des contre-mesures, y compris l’abatage de bombardiers stratégiques américains dans l’espace aérien international. Pourtant, le Pentagone a continué à envoyer des B-1B pour mener des jeux de guerre à proximité de la Corée du Nord.
Confronté aux forces militaires les plus puissantes de la planète armées de milliers d’armes nucléaires, le régime de Pyongyang pourrait conclure qu’il doit attaquer d’abord, y compris avec son arsenal nucléaire limité, avant que son armée ne soit totalement détruite. Chaque vol B-1B pose la question immédiate aux généraux de Pyongyang : est-ce un autre exercice, ou le début d’une attaque tous azimuts ?
À Washington, l’armée est prête pour la guerre contre la Corée du Nord. Dans un discours sur les points essentiels adressés lundi aux officiers supérieurs de l’armée, le secrétaire à la défense, James Mattis, a insisté sur le fait que l’armée devait être : « prête à faire en sorte que nous ayons des options militaires que notre président peut employer si nécessaire ».
L’Army Association [association civile de soutient à l’armée] a paraphrasé le général Robert Abrams, dirigeant du Commandement des forces de l’armée américaine qui s’était exprimé au même séminaire en disant : « Envoyer des forces à se battre dans une guerre totale comme la Seconde Guerre mondiale signifierait faire face à une dure réalité : des soldats vont mourir, et en grand nombre ».
Mattis et le président du Comité des chefs d’États-majors interarmées, le général Dunford, ont rencontré Trump mardi pour examiner les options militaires, y compris « pour empêcher la Corée du Nord de menacer les États-Unis et leurs alliés avec des armes nucléaires ». En d’autres termes, l’administration Trump est sur le point d’une guerre d’agression illégale sous prétexte que le petit arsenal nucléaire de la Corée du Nord constitue une menace pour les États-Unis.
Une attaque américaine contre la Corée du Nord conduirait inévitablement à une confrontation avec la Chine et la Russie, qui ont à plusieurs reprises appelé à un apaisement des tensions et à un retour aux négociations. Une guerre à leurs frontières et l’installation d’un régime fantoche américain à Pyongyang coupent directement leurs intérêts stratégiques en Asie. De plus, l’assujettissement de la Corée du Nord fait partie de l’ambition beaucoup plus large de Washington de saper, d’encercler et, si nécessaire, de faire la guerre à la Chine pour assurer l’hégémonie américaine en Asie et dans le monde.
Trump a accéléré le prétendu « pivot vers l’Asie » de l’Administration Obama contre Pékin sur tous les fronts – diplomatiquement, économiquement et militairement. Il a renforcé les liens américains dans toute la région, menacé la Chine d’une guerre commerciale et affronté Pékin sur le plan militaire non seulement sur la péninsule coréenne, mais aussi en mer de Chine méridionale. Mardi, un destroyer de la marine américaine a effectué une autre intrusion provocatrice près des îles Paracels chinoises pour contester les « revendications maritimes excessives » de Pékin ».
La poussée américaine vers la guerre n’est pas simplement le produit d’un président Trump fascisant. C’est plutôt l’expression de l’aggravation de la crise politique, sociale et économique de l’impérialisme américain qui a désespérément cherché à arrêter son déclin historique par son usage agressif de sa puissance militaire. Après avoir créé un désastre après l’autre au Moyen-Orient, en Asie centrale et en Afrique du Nord, Washington s’engage dans une surenchère et se prépare à un conflit direct avec ses principaux rivaux, la Chine et la Russie en premier lieu.
Le danger de la guerre est encore aggravé par l’agitation et les conflits immenses au sein de l’establishment politique américain, y compris à la Maison-Blanche, et plus largement, l’opposition populaire à la guerre et à l’austérité. Trump est publiquement en désaccord avec Tillerson et Mattis qui ont suggéré que les efforts diplomatiques doivent être épuisés avant toute attaque contre la Corée du Nord – non parce qu’ils sont opposés à la guerre, mais parce qu’ils craignent l’éruption immédiate d’un mouvement de masse anti-guerre en cas d’agression américaine non dissimulée.
L’âpreté des luttes intestines a été soulignée quand un article de NBC bien informé a révélé que Tillerson avait menacé de démissionner et a dit de Trump que c’est « un crétin » à la suite d’une réunion du Pentagone de haut niveau la semaine dernière.
Mercredi, NBC a rapporté que ce qui a incité Tillerson à faire cette remarque était une proposition de Trump de multiplier le nombre d’armes nucléaires américaines par dix, ce qui mettrait les États-Unis en violation de tous les traités nucléaires existants et en ferait effectivement un état paria.
Dans une expression effrayante du type de répression qui pourrait être imposée dans le contexte d’une nouvelle escalade contre la Corée du Nord, Trump a menacé dans un tweet de suspendre la licence de radiodiffusion de NBC à cause de cette histoire.
Les profondes divisions dans les cercles dirigeants américains qui alimentent la spéculation sur la destitution de Trump ont été résumées dans un éditorial du Washington Post mardi intitulé « Que faire avec un président inapte ».
Loin d’arrêter la poussée vers la guerre, la crise politique ne fait qu’aggraver le danger. Accablé par les conflits domestiques, Trump est poussé à s’en dégager en cherchant à projeter les tensions politiques et sociales contre un ennemi étranger. Ses détracteurs et ses opposants ne sont pas opposés à la guerre – nombre d’entre eux sont criminellement coupables des actes d’agression commis par les États-Unis au cours des 25 dernières années. Les divergences sont purement tactiques : comment attaquer et qui attaquer en premier.
Sans le développement d’un mouvement de masse anti-guerre de la classe ouvrière aux États-Unis et internationalement, la guerre est non seulement possible, mais inévitable. Un tel mouvement ne peut pas s’appuyer sur des appels aux pouvoirs en place, il doit s’appuyer une perspective socialiste révolutionnaire pour abolir l’ordre capitaliste malade qui menace de traîner l’humanité dans l’abîme.
(Article paru d’abord en anglais le 12 octobre 2017)

jeudi 12 octobre 2017

FLASH, FLASH:à 5 ans, cette fillette a déjà des seins et des menstruations. Maintenant c'est la ménopause qui l'attend. Une mère réclame de l'aide après que sa fille de 5 ans a commencé à avoir ses règles et que sa poitrine s'est mise à pousser.



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Une mère réclame de l'aide après que sa fille de 5 ans a commencé à avoir ses règles et que sa poitrine s'est mise à pousser.
Emily Dover n'est encore qu'une enfant, mais sa mère Tam affirme que sa fille a commencé à avoir de l'acné et une odeur corporelle à l'âge de deux ans. 
Sa poitrine a également commencé à pousser depuis qu'elle a deux ans. 
Tam Dover indique aussi qu'Emily a commencé à avoir ses règles à seulement quatre ans. De plus, des poils ont commencé à pousser un peu partout sur son corps, y compris sur son front, son dos et sur ses parties intimes.
"Emily a encore eu ses règles l'autre jour. Elle ne comprend pas ce qu'il lui arrive, elle n'a même pas eu la chance d'être une petite fille", déclare sa mère.
"C'est difficile de lui expliquer ce qu'il lui arrive mais elle sent qu'elle est différente. Elle voit bien qu'elle est plus grande que les autres enfants. Emily est très consciente de son corps. Il ne faut pas qu'elle ait peur de ce qui va lui arriver", ajoute sa mère Tam.
La petite Emily a été examinée par un médecin dans un hôpital situé à Wyong en Australie. Elle souffre malheureusement de la maladie d'Addison et d'une puberté très précoce.
La maladie d'Addison est un trouble des glandes surrénales.
La famille de la petite Emily a fait une collecte pour payer les coûts astronomiques des traitements nécessaires pour combattre la maladie.
Emily entamera prochainement un traitement hormonal qui devrait déclencher une ménopause chez la petite fille. 
Avec ce traitement, Emily connaitra en effet tous les mauvais côtés de la ménopause qu'une femme de plus de 50 ans subit.
Tam écrit sur la page de collecte pour Emily qu'il est difficile de demander de l'argent à des étrangers. Cependant, la famille d'Emily n'a pas le choix car ils se trouvent dans une situation financière critique.
"Nous espérons que vous pourrez faire une différence dans la vie de notre petite fille. Afin qu'elle se sente comme une enfant de 5 ans comme les autres", écrit-elle sur la page.
On espère qu'Emily puisse un jour guérir et avoir une vie normale! 
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Source: AOL
Crédit Photo: Tam Dover
© Attraction Web Inc. - Aucune copie du contenu n'est autorisée. Vie Privé

Alerte importante: L'ouragan en devenir Ophelia fonce tout droit vers l'Europe Les experts prévoient que la tempête tropicale Ophelia va bientôt se transformer en ouragan de catégorie 1.

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Les experts prévoient que la tempête tropicale Ophelia va bientôt se transformer en ouragan de catégorie 1. 
C'est lorsqu'elle aura atteint les Açores que la tempête évoluera en ouragan. 
Il est tout à fait normal que des ouragans se forment encore à ce moment de l'année, or ce qui attire particulièrement l'attention, c'est la possible trajectoire de ce futur ouragan.
Alors qu'on prévoyait qu'Ophelia pourrait toucher la France, on sait maintenant que l'ouragan se dirigera plutôt vers l'ouest de l'Irlande. 


Ainsi, les modèles de prévisions affirment que de vendredi à samedi, la tempête s'avancera lentement au large des Açores. Elle se limitera principalement à des forts vents et de la pluie. 
Mais les choses commenceront à se corser dimanche lorsqu'Ophelia remontera vers le Golfe de Gascogne. Bien que les risques soient très faibles, on craint quand même que le Portugal subisse quelques dommages.  


Lundi, l'ouragan évitera les côtes atlantiques françaises d'une distance de 700 km, puis mardi, alors qu'il sera redevenu une tempête, Ophelia frappera l'Irlande avec des vents de 130 à 140 km/h.
Enfin, soulignons qu'Orphelia permettra de faire remonter un air chaud sur la France. Des températures de 5 à 10 degrés au-dessus de la normale sont à prévoir.
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Source: BFMTV
Crédit Photo: Twitter

mercredi 11 octobre 2017

Flash, Flash:Nouveau survol de la péninsule coréenne par des bombardiers américains Dimanche, après des menaces de Donald Trump, Kim Jong-un a salué la puissance de l’arsenal nucléaire nord-coréen.





Un B-1B Lancer s’envole pour survoler la péninsule coréenne, le 10 octobre 2017.
Un B-1B Lancer s’envole pour survoler la péninsule coréenne, le 10 octobre 2017. US AIR FORCE / REUTERS

Deux bombardiers américains B-

1B Lancer 

basés sur l’île de Guam ont survolé, dans la nuit de mardi 10 à mercredi 11 octobre, la péninsule coréenne pour une démonstration. Des avions de combat japonais et sud-coréens ont participé à cet exercice de simulation de tirs de missiles air-sol.



Depuis plusieurs semaines, la tension sur la péninsule coréenne ne retombe pas : Pyongyang multiplie les tirs de missiles et a mené un sixième essai nucléaire, avec pour toile de fond des échanges de menaces entre Kim Jong-un, le dirigeant nord-coréen, et le président américain Donald Trump.

Les menaces de Donald Trump

Dimanche, Kim Jong-un a salué la puissance de dissuasion que représente l’arsenal nucléaire de la République populaire démocratique de Corée. La veille, Donald Trump avait lancé une salve de tweets menaçants, suggérant une nouvelle fois qu’il envisageait l’option militaire.

« Les présidents et leurs administrations parlent à la Corée du Nord depuis vingt-cinq ans, des accords ont été faits et des sommes d’argent massives payées », a-t-il déclaré dans un tweet. « [Cela] n’a pas marché, accords violés avant que l’encre ait séché, ridiculisant les négociateurs américains. Désolé, mais seulement une chose marchera » a-t-il ajouté sans autre précision.

Flash, Flash...USA&Corée du N. pou 3em gè ,KIM di anlagan 1milyon moun ap mouri





USA&Corée du N. pou 3em gè ,KIM di anlagan 1milyon moun ap mouri