mercredi 30 août 2017

Haiti-RD/Surveillance Frontières : Création d’une unité spéciale de la PNH. Quid de l’armée ?



La « Police Frontalière » est partie avec un effectif de 100 hommes, ils seront d’ici 2018 plus de 600 sortis uniquement dans les rangs de la PNH à être déployés le long de la frontière. Qu’en est-il de la remobilisation de l’armée en 2017 dont la principale tache serait de venir assurer la sécurité des frontières terrestres et maritimes ?
Port-au-Prince, mardi 29 août 2017 ((rezonodwes.com)).-C’est par la voix de son directeur général, Michel Ange Gédéon, que nous avons appris la formation d’une unité spéciale de la PNH devant désormais assurer la surveillance et le contrôle de la frontière séparant les deux pays, Haïti et la République Dominicaine.




Les hommes de la Police frontalière, au nombre d’une centaine au départ déployés dans le Nord-Est, viendront à la rescousse des agents douaniers haïtiens et de l’immigration, pour s’assurer de l’efficacité de la lutte contre la contrebande, le trafic humain, le trafic d’armes et de stupéfiants, les crimes trans-nationaux, a laissé entendre le DG de la PNH affirmant que vers l’année 2018, cet effectif passera à 600 hommes.
Cependant, M. Gédéon qui n’a pas fait état d’une éventuelle coopération entre la PNH et la nouvelle force armée à venir le 18 novembre 2017, date initialement prévue par les grands ténors de Tèt Kalé bis, a annoncé la mise sur pied d’une cellule de coordination dont la mission essentielle est d’assurer une constante communication entre les directions départementales de la PNH et de planifier des méthodes d’ interventions rapides lors des opérations conjointes.
Par ailleurs, Michel Ange Gédéon a révélé un renforcement non négligeable des unités des Gardes Côtes, du Swat Team et de BLTS pour mener à bien la lutte contre le trafic de stupéfiants partout et à travers le pays.
Toutefois, rien n’a été décidé sur le cabotage autour des côtes de la République où les naufrages des bateaux sont fréquents et ont endeuillé des familles du fait de l’inefficacité et du renforcement des patrouilles policières en haute mer.




Notons que ce plan prévisionnel à long terme, qu’a rendu public le numéro Un de la PNH, n’inclut aucunement la participation d’une quelconque armée dont la première sortie de promotion serait attendue à la date de la célébration du Combat de Vertières, jour commémorant la bravoure de nos Héros ayant conduit le pays à l’Indépendance, le 1er Janvier 1804.

FLASH: Haiti - Moise Jean Charles MANIFESTATION against President Jovenel Moise 12 Sept 2017, Li fe konnen ke peyi a pap pase konsa anko. E li pral bay neg yon leson pou lavi


Ex Haiti Senator Moise Jean Charles announces a MANIFESTATION against President Jovenel Moise 12 Sept 2017. Moise Jean Charles says he wants to blow the whistle on a series of decisions the Jovenel is taking against the Haitian population.

Moise Jean Charles - Manifestaiton anti Jovenel Moise
Moise Jean Charles is against the decision of the Jovenel Moise administration to impose a tax on the Haitians in the diaspora, he says in an interview to Radio Kiskeya.
Just like President Martelly, Moise Jean Charles says President Jovenel Moise is making promises he cannot keep.
"We are going to take to the streets on 12 Sept," Senator Moise says, "Pitit Dessalines, various organizations and sectors will take to rise up because we cannot leave this free way for parliament. We just cannot do that..."

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Derniere info...HAITI CORRUPTION : Corruption dans le dossier des kits scolaires, affaire diaspora : les précisions de la Présidence


Le Nouvelliste
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National -
Depuis peu de temps, des rumeurs font état des cas de corruption dans lesquels sont impliqués des membres du gouvernement en place dans le dossier de distribution de kits scolaires destinés généralement aux familles de petites bourses, en prélude à la rentrée scolaire. Mais afin que nul n’en ignore, la présidence ne compte pas rester les bras croisés, à en croire l’équipe de communication du Palais national qui a présenté une conférence de presse ce lundi. Des mesures sont annoncées.
Officiellement, le chef de l’Etat a déjà donné les instructions pour que les autorités puissent conduire une enquête devant apporter des éclairages nécessaires et fixer les responsabilités, d’après Lucien Jura, porte-parole de la présidence. Un rapport en sera élaboré. Et les dispositions seront prises en conséquence. « Peu importe l’individu mis en cause, il se retrouvera seul devant la loi », rassure le porte-parole, rappelant, pour mettre en confiance la population, qu’il revient aux autorités compétentes de statuer sur ces cas. Ce comportement de la présidence, laisse-t-il croire, rejoint la vision du président Jovenel Moïse de mener une lutte sans merci contre la corruption, dans toutes ses facettes, au sein de l’administration publique. « Zéro corruption, tel est le mode qui anime l’équipe en place », enchaîne-t-il.
Parallèlement, le porte-parole de la présidence en a profité pour faire le point, une bonne fois pour toutes, sur la dernière décision adoptée par le gouvernement, dans le projet du budget pour l’exercice fiscal 2017-2018, concernant les membres de la diaspora qui devront payer la somme de 10 000 gourdes avant d’obtenir leurs déclarations définitives d’impôt sur le revenu. Il y a eu désinformation sur ce dossier. Il n’est nullement question d’exiger à quiconque (membre de la diaspora) foulant le sol haïtien de donner ladite somme, explique Lucien Jura. « Cela n’a aucun fondement », glisse-t-il, se voulant rassurant. C’est une décision qui concerne seulement tout citoyen de la diaspora haïtienne ou un étranger désirant faire une “transaction quelconque”’ dans le pays. Un montant forfaitaire de “10 000 gourdes” sera réclamé pour toute l’année, peu importe le nombre de transactions qui s’ensuivront, explique Lucien Jura.
Par ailleurs, cette conférence de presse a été également l’occasion pour l’équipe de communication de la présidence de dresser un rapport d'activités conduites par le président de la République, que ce soit du côté de l’Artibonite que dans le grand Sud, où la Caravane du changement a démarré depuis le 1er juillet dernier. Aussi a-t-elle souligné les mesures prises par différentes instances de l’administration en place pour garantir les meilleures conditions d’une bonne rentrée des classes prévue le lundi 4 septembre 2017.

mardi 29 août 2017

NOTICIA DE ultima hora URGENTE corea del norte MUESTRA LAS IMAGINES DEL...





Rusia rechaza las vías militares para resolver el conflicto de la península coreana Rusia ha condenado el lanzamiento del misil balístico realizado por Corea del Norte el pasado 4 de julio.Durante la sesión del Consejo de Seguridad de la ONU celebrada este miércoles Rusia ha declarado que las sanciones contra Pionyang "llevan los problemas de la península coreana a un callejón sin salida".Rusia ha tildado las acciones de Corea del Norte de "inaceptables" y ha destacado que "van en contra de las resoluciones del Consejo de seguridad de la ONU".Sin embargo, según ha declarado el embajador adjunto de Rusia, Vladímir Safronkov, "es necesario descartar la posibilidad de medidas militares para solucionar la situación en la península coreana".Moscú ha expresado "una gran preocupación por el desarrollo de la situación en la península coreana y en su entorno". Según ha señalado Safronkov, "la escalada de la tensión militar y política en esa región amenaza puede provocar un conflicto armado", por lo que requiere de la toma de medidas "colectivas" por vías de "un diálogo y consultas" por parte de la comunidad internacional.El representante ruso ha instado a todas las partes involucradas a "abstenerse de acciones de provocación y de la retórica bélica" y a "demostrar estar dispuestas para un diálogo sin presentar condiciones previas".

La propuesta ruso-china Según ha indicado Safronkov, la propuesta hecha por China y la hoja de ruta de Moscú son "un punto de partida apropiado para el inicio del trabajo para solucionar la cuestión norcoreana".La iniciativa de Moscú y Pekín presupone la congelación del programa nuclear y de misiles de Pionyang, así como la suspensión de los ejercicios militares conjuntos de Washington y Seúl. Además, los dos países proponen reanudar las negociaciones a partir del rechazo de la agresión y la aspiración de lograr la desnuclearización de la península.Llamamos a todos los Estados a apoyar dicha iniciativa, que abre un camino real hacia la solución de los problemas de la península coreana", ha rematado Safronkov.Además, Safronkov ha subrayado la importancia de suspender "de inmediato" el despliegue del sistema THAAD en territorio de Corea del Sur.El despliegue del sistema antimisiles THAAD en el noreste asiático "acarrea un daño severo a los intereses de la seguridad estratégica de los Estados de la región". Además, el sistema "no contribuye a alcanzar los objetivos dirigidos a la desnuclearizar de la península coreana, así como tampoco a la paz y la estabilidad en la región sobre la base de una seguridad inquebrantable".Por su parte, la representante de EE.UU.

 ante la ONU, Nikki Haley, ha afirmado que Washington está preparado para utilizar la opción militar con vistas a evitar la amenaza nuclear de Corea del Norte.Este martes a las 0:40 GMT, Corea del Norte lanzó con éxito el Hwasong-14, que asegura que es su primer misil balístico intercontinental. El proyectil partió desde cerca de la localidad deKusong, en el noroeste del país, y cayó al mar en la zona económica exclusiva de Japón.El Hwasong-14 recorrió 933 kilómetros, alcanzó una altura de 2.802 kilómetros y estuvo 39 minutos en el aire, con lo cual se habría convertido en el misil norcoreano que habría efectuado el vuelo más prolongado.Esta es la undécima prueba de misiles que Pionyang realiza en lo que va de año. Tras este ensayo, anunció que "pondrá fin a la amenaza de una guerra nuclear y al chantaje de Estados Unidos".


 El misil lanzado por Corea del Norte este 4 de julio corresponde a un nuevo tipo de proyectil que "nunca habíamos visto antes" y fue lanzado desde una ubicación diferente a sus pruebas de misiles anteriores, comunica el Pentágono.Jeff Davis, portavoz del Departamento de Defensa de EE.UU. citado por Reuters, asegura que el misil fue disparado desde una lanzadera móvil, contó con un vehículo de rentrada y representó un peligro para las embarcaciones del mar del Japón, así como para las aeronaves y satélites en el espacio.Por otra parte, el Pentágono subrayó que los sistemas antimisiles estadounidenses son capaces de lidiar con la amenaza "naciente" que representa la capacidad de los misiles balísticos intercontinentales de Pionyang e hizo referencia a una prueba realizada en mayo, en la que EE.UU. interceptó con éxito un objetivo análogo a esos proyectiles.

BOOM!!! BOOM!!!COREA DEL NORTE/ JAPON:Por qué Corea del Norte ha lanzado ahora el misil que ha sobrevolado Japón?



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© Proporcionado por Huffington Post Varias personas ven en la televisión la trayectoria del nuevo misil lanzado por Corea del Norte.
Era poco más de medianoche en España cuando saltó Corea del Norte lanza un nuevo un misil balístico, según Seúl / EFEla alarma: el líder de Corea del Norte, Kim Jong-Un, había decidido que era el momento para jugar con sus misiles. No es la primera vez que lo hace, para quebradero de toda la comunidad internacional, pero esta vez hubo una novedad, al menos en la historia reciente: fue lanzado desde desde Sunan, donde se encuentra ubicado el aeropuerto capitalino de Pyongyang, y recorrió más de 2.700 kilómetros a una altura media de 550 pasando por encima de Japón, a la altura de la isla de Hokkaido. Cayó a 1180 kilómetros de las costas japonesas, en pleno Océano Pacífico.
Es el tercer ensayo de este tipo que realiza la nación comunista en las últimas dos décadas, un hecho que recalca la significación de la prueba, y la tercera vez que se lanza uno sobre Japón. Ya lo había hecho en 1998 y en 2009, aunque en esa ocasión Pyongyang aseguró que se trataba del lanzamiento de un "satélite". ¿Y por qué ahora vuelve a la carga? ¿Por qué se ha elegido esta zona?
El lanzamiento se tiene que contextualizar como el enésimo desafío del país de Kim Jong-Un, que en los últimos meses ha encontrado además en el EEUU de Donald Trump una férrea resistencia que incluso ha amenazado con atacarle. El lanzamiento, además, se produce justo horas después de que Tokio impusiera nuevas sanciones a Pyongyang por la expansión de su programa armamentístico. Pero esta vez Corea del Norte ha elegido una forma diferente de actuar ya que con la trayectoria del misil lanzado se permite, en teoría,amenazar al territorio continental de EEUU y dominios de este país en el Pacífico como Guam o Hawai.
La agencia Yonhap sentencia que el hecho totalmente "inusual" de que esa prueba se produjera desde la capital norcoreana "es otro signo" de que la nación asiática "está diversificando su área de lanzamiento para esquivar la vigilancia externa y hacer frente a posibles ataques preventivos".
Por su parte, analistas del Centro de Estudios de No Proliferación de California, citados por la agencia Reuters, han dicho que el proyectil —denominado Hwasong 14— tenía la capacidad incluso de llegar hasta Nueva York. Según la agencia KCNA, el líder norcoreano está "orgulloso" de que con esta prueba ha confirmado que "todo el territorio continental de Estados Unidos" está ahora a "su alcance".

JAPÓN, SOLO FRENTE A LA COMUNIDAD INTERNACIONAL

Lo cierto es que acción norcoreana supone todo un desplante para la administración de Donald Trump, que hace sólo algunos días había intentado rebajar las tensiones y aseguró que Corea del Norte había "empezado a respetar" a EEUU. Pero el miércoles pasado el ministro de Defensa norcoreano, Pak Yong Sik, volvió a repetir una amenaza recurrente de Pyongyang: que podrían atacar EEUU con armas nucleares.
"Si el enemigo no entiende nuestro estatus estratégico y se aferra a la opción de lanzar un ataque nuclear preventivo, nosotros atacaremos el corazón de América con armas nucleares para castigarles sin previo aviso", afirmó.
Rusia ha querido lanzar todas las alertas, asegurando que el último misil balístico lanzado por Corea del Norte demuestra que la amenaza del régimen de Kim Jong Un de atacar el territorio estadounidense en la isla de Guam "no es un bluf", en palabras del jefe de la Comisión de Asuntos Internacionales del Senado ruso, Konstantin Kosachev.
"Pyongyang ha demostrado que sus amenazas contra la base militar de Estados Unidos en Guam no son un bluf", ha dicho el legislador ruso a través de las redes sociales.
Por su parte Japón ha reaccionado de manera contundente y el primer ministro japonés, Shinzo Abe, ha indicado que "harán todos los esfuerzos posibles para asegurar las vidas y propiedades de los ciudadanos". Su asesor más cercano, Yoshihide Suga, ha precisado que se trata de "una amenaza sin precedentes".
El régimen que lidera Kim Jong Un ha disparado hasta 12 misiles en lo que va de año, desestimando todas las ofertas de diálogo que ha presentado el nuevo dirigente de Corea del Sur, Moon Jae-in, que también se ha visto obligado a convocar un encuentro de emergencia de sus asesores tras este último incidente.
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Corea del Norte lanza un misil balístico que sobrevoló Japón

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dimanche 27 août 2017

Avis important pour les haitiens: En plus d’1.50$ perçu depuis 2011, sur chaque transfert d’argent effectué vers Haïti par la diaspora et des prélèvements sur les appels entrants, l’Etat haïtien avec ce budget fiscal 2017-2018 va exiger annuellement une somme de Gdes 10,000 minimum de chaque haïtien vivant à l’étranger pour renouveler un passeport ou un permis de conduire ou pour légaliser des pièces…





Chaque membre de la diaspora va payer 10,000 gourdes au minimum par an au gouvernement haïtien!



Port-au-Prince, vendredi 7 juillet 2017 ((rezonodwes.com))– Les administrations Tet Kale ne font pas dans la dentelle avec la diaspora et mettent tout en oeuvre pour délester les Haïtiens vivant hors du pays de leurs maigres revenus, sans leur accorder le moindre avantage en retour. La prorogation du TPS attendue pour 18 mois en constitue l’exemple de l’abandon de la diaspora à son sort.




Rezo Nòwès a parcouru en partie les quelques 200 pages de la proposition de Budget 2017-2018 déposé au parlement à la fin du mois de juin. Un des points inédit ayant retenu l’attention vient du point concernant la Modification de l’Impôt sur le RevenuIl traite de la question des personnes dont le domicile fiscal est situé hors d’Haïti. Ceci laisse sous-entendre immédiatement les haïtiens de partout dans le monde.
Ces derniers doivent prouver, selon la nouvelle loi de finance à venir, qu’ils sont en règle avec l’administration fiscale de leur pays de résidence et payeront un impôt minimum forfaitaire de 10,000 Gdes.
Cette exigence faite, si l’on en sait que rares sont les haïtiens qui sont munis d’un certificat de déclaration définitive d’impôts, on en déduit que l’article en question est taillé sur mesure pour la diaspora, la véritable vache-à-lait qui va grossir cette assiette fiscale.
En effet, toutes nouvelles demandes de services, à partir de la prochaine année fiscale  sont désormais assujetties à la présentation d’un certificat de déclaration définitive d’impôts que même l’actuel PM Lafontant ne détenait pas pendant environ 5 années ou tout au moins jusqu’au jour où il était choisi pour occuper la fonction de chef de la Primature.




Pour l’obtention de Timbre et livraison de passeport ; Plaques d’Immatriculation de véhicules ; Permis de séjour ; Permis de conduire ; Enregistrement des titres de propriétés et de sûretés mobilières ; Demande de franchise et de subvention; Passation de contrats entre l’État et prestataires de services ; Assurances Véhicules Contre Tiers ; Légalisation de pièces; Patente, Impôt locatif ; Fermage et loyer des biens du domaine privé de l’État, aucun de ces services précités ne peuvent être obtenus sans faire valoir sa feuille de déclaration d’impôt annuel.
Autrement dit, les haïtiens qui élisent domicile à l’étranger où l’état organisé fournit tous les services de base à chaque citoyen, en soumettant une preuve qu’ils sont en règle avec l’administration fiscale de leur pays de résidence et payeront un impôt minimum forfaitaire de 10,000 Gdes. Les parlementaires doivent plancher sur ce point avant de parvenir à la ratification du projet de loi des finances.